
NEED for SPEED
RESULTATS DES TESTS
TEST 1 : T-TEST
Avec Changements de Direction Anticipés.


En se basant sur les moyennes des groupes de travail on observe une nette progression sur ce test pour chacun d'eux :
En effet, les handballeuses ayant travaillé l'explosivité pendant 3 mois sont celles qui ont le plus gagné en vitesse sur ce test avec 0,42 secondes de différence.
Le groupe ayant travaillé la vitesse-vivacité est en 2ème position avec un gain de 0.38 secondes entre le 13 janvier et le 30 mars 2016.
Puis vient en 3ème et dernière position le travail de force avec un gain de 0,22 secondes en 3 mois.
Faire la moyenne du gain de vitesse sur un groupe permet une bonne visibilité des résultats obtenus sur l'objectif fixé (le gain de vitesse dans les changements de direction anticipés) en fonction du moyen utilisé (la qualité physique travaillée).
Seulement, en prenant au cas par cas, certaines ont régressé au sein d'un groupe en progression. Exemple : Saloua qui a perdu 0,02 secondes en moyenne sur le test, fait parti du groupe de vitesse-vivacité (2ème position en gain en progression sur le test).
Ou alors d'une autre façon, Solène est celle ayant le plus gagné en rapidité en trois mois et elle fait aussi partie du groupe ayant le moins bien progressé.
Un plus grand échantillonage permettrait alors de gagner véracité sur les comparaisons de moyennes entre les groupes.
TEST 2 :
Avec Changements de Direction Spontanés.


En se basant sur les moyennes des groupes de travail on observe une nette progression pour deux d'entre eux et une presque stagnation pour le troisième :
En effet, les handballeuses ayant travaillé la vitesse-vivacité pendant 3 mois sont celles qui ont le plus gagné en vitesse sur ce test avec 0,99 secondes de différence !
Le groupe ayant travaillé la force a lui aussi bien progressé avec un gain de 0,43 secondes entre le 13 janvier et le 30 mars 2016.
A contrario, la moyenne de la vitesse des handballeuses ayant pratiqué l'explosivité pendant 3 mois, n'a quasiment pas bougé : gain de 0.04 secondes.
En comparant les résultats obtenus au cas par cas et les moyennes calculées sur les groupes, on retrouve la même logique de résultats. C'est à dire que les filles ayant régressées, stagnées ou très peu progressées font parti du groupe ayant la moins bonne moyenne de progression, 0.04 secondes.
De la même façon, les handballeuses ayant la plus grande progression de vitesse dans ces changements de direction spontanées font aussi parti du groupe ayant la plus grande progression en moyenne, 0,99 secondes.
Reproduire cette problématique avec un plus grand nombre de pratiquants permettrait alors de confirmer ces résultats.