J’ai profité de ce stage pour mettre en place un vrai questionnement, ce qui est beaucoup plus difficile à faire une fois employé dans une structure ou en travaillant à son compte. C'était donc une réelle opportunité pour comparer l’impact de différentes techniques de travail sur une seule capacité physique.

J’ai choisi d’axer mon travail sur 3 techniques : la FORCE, la VITESSE-VIVACITE, et l'EXPLOSIVITE pour comparer ensuite l’impact qu’elles auront sur la vitesse des joueuses dans leurs changements de direction.

TROIS TECHNIQUES A COMPARER :

Dans un idéal, j’aurais aimé multiplier le nombre de techniques de travail à comparer, seulement cela m'aurait obligé à réduire l'effectif de chaque groupe, ce qui aurait été au détriment de la fiabilité des résultats obtenus. En effet, des données basées sur le travail d'une ou de deux personnes seulement sont trop subjectives, tandis qu’avec 3 ou 4 éléments dans la même catégorie on a des données plus solides.

La difficulté a donc été de trouver l'équilibre entre "travailler plus de techniques" et "avoir des résultats les plus fiables possibles".

Début Janvier, je compte 13 joueuses pour la pratique spécifique : 4 en force, 4 en explosivité et 5 en vivacité.

Trois mois plus tard, début avril je compte 10 joueuses pour la pratique : 3 en Force, 3 en Explosivité et 4 en Vitesse - Vivacité.

Mon but était d'avoir minimum 3 éléments de comparaison dans chaque groupe de travail à la fin des 12 semaines de pratique.

Pour cela, j’ai sélectionné deux tests dans le but d'évaluer la vitesse dans les changements de direction spontanés et anticipés (voir l'onglet TEST).